registre cimetière père lachaise

Ils virent le jour progressivement : en 1804 pour le cimetière de l'Est, dit du Père-Lachaise ; en 1824 pour le cimetière du Sud, dit de Montparnasse ; et en 1825, pour le cimetière du Nord, dit de Montmartre.En 1860, Paris étend ses limites et annexe les communes périphériques, englobant dans son territoire les trois grands cimetières précités ainsi que les onze cimetières des villages annexés : Auteuil, Batignolles-Monceaux, Belleville, Bercy, Charonne, Grenelle, La Chapelle, La Villette, Montmartre, Passy et Vaugirard.Enfin, entre 1860 et 1886, l'accroissement de la population parisienne et la généralisation des concessions individuelles ont poussé à nouveau la Ville à créer, par manque de place, de vastes cimetières hors les murs (Bagneux, Ivry, Pantin et Saint-Ouen).

De même, les défunts ayant quitté le Père-Lachaise pour un autre cimetière avant que la copie ne soit réalisée ne figurent pas dans les registres : ainsi la reine Louise de Lorraine, qui a elle aussi reposé près de 10 ans dans une sépulture temporaire à côté de Baculard d’Arnaud avant d’être transportée à l’Abbaye de Saint-Denis, ne fait l’objet d’aucune mention. À la fin du XVIIIDurant la période comprise entre la Révolution et le Consulat, trois petits cimetières furent aménagés aux portes de Paris : Saint-Pierre-de-Montmartre dit du Calvaire, Picpus (cimetière privé) et Saint-Germain-de-Charonne dit de Charonne. Règlement général européen sur la protection des données personnelles (RGPD)NB : il n'existe pas de registre pour ce cimetière Longtemps, les Parisiens furent enterrés dans les cimetières accolés aux églises de la ville. Ils virent le jour progressivement : en 1804 pour le cimetière de l'Est, dit du Père-Lachaise ; en 1824 pour le cimetière du Sud, dit de Montparnasse ; et en 1825, pour le cimetière du Nord, dit de Montmartre.

En 1801, il fut décidé de créer trois grands cimetières pour la Ville de Paris. A l'intérieur du registre, la recherche s'effectue par date d'inhumation ou par numéro d'ordre d'enregistrement (si c'est la date du décès qui était indiquée en étape 1). Le plus récent est implanté à Thiais dès 1929.Une étrangeté à noter : il existe aussi dans Paris des cimetières qui n'appartiennent pas à la Ville de Paris, tels que les cimetières communaux de Gentilly, près du stade Charléty, de Montrouge à la porte d'Orléans ou de Saint-Mandé.Les cimetières parisiens sont au nombre de 20 et se répartissent de la manière suivante :Ces registres permettent notamment d'accéder aux informations suivantes :La recherche s’effectue en deux étapes : les répertoires annuels, puis les registres journaliers d’inhumation. Avec les informations relevées à l'étape 1 (consultation du répertoire annuel d'inhumation), il est recommandé de renseigner les champs suivants :A l'intérieur du registre, la recherche s'effectue par date d'inhumation ou par numéro d'ordre d'enregistrement (si c'est la date du décès qui était indiquée en étape 1).On trouve dans ces registres des informations précises sur la personne décédée, notamment : Voici les tombes des personnalités les plus connues dans le cimetière du Père-Lachaise. Règlement général européen sur la protection des données personnelles (RGPD)